Sans ordonnance diflucan
Chez le patient qui a déjà reçu un traitement de 1er et 2ème ligne
Le traitement par Itraconazole est contre-indiqué chez les patients ayant reçu un traitement de 1er et 2ème ligne (voir rubrique Contre-indications).
Chez le patient qui n’a pas reçu de traitement de 1er et 2ème ligne
Si un traitement de 2ème ligne n’est pas nécessaire, un traitement de 1ère ligne peut être envisagé.
Chez les patients atteints d’une maladie sévère ou évolutive, les symptômes et signes de la maladie doivent être évalués par le médecin afin d’établir le traitement le mieux adapté. Les patients présentant des symptômes cliniques et biologiques de la maladie ne doivent pas prendre d’antifongiques oraux car les effets indésirables peuvent être plus importants que ceux résultant de l’utilisation d’un antifongique topique seul. Le traitement par Itraconazole n’est pas indiqué dans la prévention du développement de la maladie dans la maladie systémique sévère ou évolutive. Les patients présentant une maladie systémique légère à modérée doivent être traités avec un antifongique topique seul. Les patients présentant une maladie systémique sévère ou évolutive doivent être traités avec un antifongique topique seul. Une prophylaxie contre la mycose vaginale à Candida n’est pas recommandée.
L’utilisation concomitante d’Itraconazole et d’antifongiques azolés tels que le kétoconazole et l’itraconazole peut entraîner une inhibition de la fonction de ces antifongiques azolés et une réduction de leur efficacité clinique.
Le traitement doit être interrompu au moins 48 heures après la dernière dose d’antifongique azolé.
En cas d’antécédents de lésions herpétiques récidivantes, un traitement antifongique par voie systémique doit être débuté.
Lors de l’utilisation concomitante d’Itraconazole et de médicaments contenant des tératogènes ou des inhibiteurs de la 5-alpha réductase dans les situations où un traitement par voie systémique est approprié (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions), l’utilisation d’Itraconazole doit être évitée si les bénéfices de l’utilisation d’un traitement systémique l’emportent sur les risques.
En cas d’antécédents de mycoses récidivantes, la prise d’antifongiques par voie systémique doit être évitée si les bénéfices de l’utilisation d’un traitement systémique l’emportent sur les risques.
En cas d’antécédents de lésions herpétiques récidivantes, un traitement systémique doit être envisagé.
En cas d’antécédents de candidose cutanée récidivante, un traitement topique systémique peut être envisagé.
Lors de l’utilisation concomitante d’Itraconazole et d’antidépresseurs tricycliques (tels que amitriptyline, clomipramine, desmopressine), les effets indésirables potentiels peuvent inclure une diminution de la pression artérielle et une hypotension, une mydriase ou un œdème du visage, une dermatite exfoliative, des éruptions cutanées et un syndrome malin des neuroleptiques.
Chez les patients ayant des antécédents de mycose des ongles récidivante, la prise d’Itraconazole doit être évitée si les bénéfices de l’utilisation d’un traitement systémique l’emportent sur les risques (voir rubriques Contre-indications et Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions).
En cas d’antécédents d’eczéma, la prise d’Itraconazole doit être évitée si les bénéfices de l’utilisation d’un traitement systémique l’emportent sur les risques.
Lors de l’utilisation concomitante d’Itraconazole et de médicaments contenant du ginkgo biloba ou des antidépresseurs tricycliques (tels que amitriptyline, clomipramine, desmopressine), des anomalies du champ visuel et des troubles de la mémoire ont été rapportés.
Chez les patients recevant des doses élevées de ciclosporine (< 8 mg/jour), des anomalies des tests de la fonction rénale et de la fonction hépatique ont été rapportées.
Des anomalies du champ visuel et des troubles de la mémoire ont été rapportés chez des patients recevant Itraconazole.
Lors de l’utilisation concomitante d’Itraconazole et de cyclosporine (< 5 mg/jour), des anomalies du champ visuel et des troubles de la mémoire ont été rapportés.
L’utilisation d’Itraconazole doit être évitée si les bénéfices de l’utilisation d’un traitement systémique l’emportent sur les risques.
Une augmentation du risque de myopathie a été observée chez les patients recevant des doses élevées de ciclosporine (< 8 mg/jour). Il est recommandé de surveiller la fonction rénale et la fonction hépatique chez les patients traités par ciclosporine.
L’efficacité de l’Itraconazole dans le traitement de la cystite atrophique à Candida a été établie chez des patients atteints d’une maladie systémique sévère. Le traitement par Itraconazole est recommandé dans cette indication.
La posologie recommandée d’Itraconazole est de 100 mg par voie orale une fois par jour.
Chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère, la posologie d’Itraconazole doit être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine (voir rubrique Posologie et mode d’administration).
L’Itraconazole peut être utilisé pour le traitement des patients atteints d’herpès génital dans les cas où la dose recommandée d’Itraconazole ne permet pas d’obtenir une éradication virale.
La posologie recommandée d’Itraconazole est de 200 mg par voie orale une fois par jour.
En cas d’antécédents de candidose vaginale récidivante, un traitement topique systémique peut être envisagé.
La posologie d’Itraconazole doit être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine.
La posologie doit être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine.
En cas de maladie systémique sévère, un traitement topique systémique peut être envisagé.
Lors de l’utilisation concomitante d’Itraconazole et d’antidépresseurs tricycliques (tels que amitriptyline, clomipramine, desmopressine), des anomalies du champ visuel et des troubles de la mémoire ont été rapportés.
Chez les patients ayant des antécédents de mycose des ongles récidivante, la prise d’Itraconazole doit être évitée si les bénéfices de l’utilisation d’un traitement systémique l’emportent sur les risques.
Lors de l’utilisation concomitante d’Itraconazole et de cyclosporine (< 8 mg/jour), des anomalies du champ visuel et des troubles de la mémoire ont été rapportés.
Une augmentation du risque de myopathie a été observée chez les patients recevant des doses élevées de ciclosporine.
Chez les patients ayant des antécédents d’eczéma, la prise d’Itraconazole doit être évitée si les bénéfices de l’utilisation d’un traitement systémique l’emportent sur les risques (voir rubrique Contre-indications).
Chez les patients ayant des antécédents d’herpès génital, la posologie d’Itraconazole doit être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine.
Toxoplasmose
Le Toxoplasma gondii est un parasite opportuniste, et en particulier chez les jeunes enfants. Il est transmis de la mère au bébé par voie transplacentaire ou par ingestion de l’aliment consommé. Les symptômes sont la diarrhée, la fatigue et l’anémie. Ils peuvent être graves et conduire à des méningites et des encéphalites pouvant aller jusqu’à la mort. La toxoplasmose peut être asymptomatique ou présenter des formes chroniques non spécifiques (neuro-toxicité, atteinte des articulations ou des muscles) avec des troubles de la marche et de l’équilibre. En cas de troubles neurologiques, une méningo-encéphalite se produit. En cas de méningo-encéphalite, il est recommandé de faire un diagnostic étiologique en utilisant les tests sérologiques de diagnostic (TDR et PCR) disponibles dans le commerce, et de prendre un traitement antitoxoplasmique. Une toxoplasmose non traitée peut provoquer une cécité irréversible chez l’adulte.
Comment diagnostiquer la toxoplasmose ?
La toxoplasmose est diagnostiquée par un test de diagnostic sérologique (TDR) : on prélève du liquide céphalorachidien (LCR) d’un patient et on le fait réagir avec des sérums antisérologiques appropriés. Le TDR montre que les anticorps antitoxoplasme sont présents en quantité importante chez les personnes qui présentent une toxoplasmose non traitée. Il est également possible de faire un diagnostic par PCR ou TDR en utilisant des souches spécifiques de Toxoplasma gondii cultivées sur des œufs de coccidés pour obtenir des antigènes spécifiques de la toxoplasmose. Si ce test est positif, le médecin peut demander des tests sérologiques pour confirmer le diagnostic.
Le diagnostic de la toxoplasmose par PCR ou TDR n’est pas recommandé chez l’adulte. La PCR peut être utilisée comme test de confirmation pour confirmer le diagnostic de toxoplasmose chez les nouveau-nés de mères qui n’ont pas été traitées, mais elle peut être utilisée dans un autre contexte lorsque la sérologie est négative. Elle est généralement utilisée pour confirmer le diagnostic d’une infection non traités, ou pour identifier des cas non traités, par exemple, des enfants à haut risque, des enfants séropositifs.
Traitement de la toxoplasmose
Le traitement de la toxoplasmose est généralement symptomatique. La plupart des infections à toxoplasma sont asymptomatiques et la seule façon de savoir si une personne est atteinte est de pratiquer un test de diagnostic. Les symptômes sont généralement légers ou modérés. Le traitement est symptomatique.
Quelles sont les complications de la toxoplasmose ?
La toxoplasmose est une infection fréquente dans les pays développés, mais elle peut être mortelle si elle n’est pas correctement traitée. La plupart des cas sont asymptomatiques et le risque de complications graves est faible, mais certaines personnes peuvent avoir des problèmes de santé chroniques.
Diarrhée
La diarrhée est un symptôme courant de la toxoplasmose. Elle peut entraîner une déshydratation et une perte de poids chez les personnes atteintes. La diarrhée peut être légère ou sévère et peut durer plusieurs jours. Il est important de consulter un médecin si elle est sévère ou prolongée.
Cécité
La cécité peut survenir en cas d’infection non traitée ou de complications sévères. La cécité peut être progressive ou soudaine. Elle peut être causée par un traumatisme oculaire ou des troubles ophtalmologiques congénitaux ou acquis. La cécité est généralement irréversible, mais elle peut être traitée.
Amyotrophie
L’amyotrophie est un signe de toxoplasmose. Elle peut se développer en quelques semaines, parfois quelques mois. Elle peut entraîner une paralysie ou une atrophie musculaire. Les personnes touchées peuvent perdre leur force et avoir des difficultés à marcher. La cécité est souvent plus sévère que la cécité symptomatique. Elle peut être réversible ou irréversible. Les médecins recommandent aux personnes qui présentent une amyotrophie de consulter un médecin afin de déterminer si la toxoplasmose est responsable de la maladie et de recevoir un traitement approprié.
Traitement de la toxoplasmose chez les enfants
La toxoplasmose chez les enfants est fréquente et peut être grave. Les enfants atteints de toxoplasmose peuvent présenter des symptômes tels qu’une diarrhée chronique, des convulsions, une anémie ou des lésions nerveuses. La toxoplasmose peut être traitée avec des antibiotiques ou des antifongiques. La plupart des cas de toxoplasmose chez les enfants sont asymptomatiques et ne nécessitent pas de traitement. Si des symptômes sont présents, il est recommandé de consulter un médecin. La toxoplasmose peut être traitée efficacement chez les enfants si elle est diagnostiquée et traitée à temps.
Quels sont les facteurs de risque de la toxoplasmose chez les enfants ?
La toxoplasmose est une maladie bactérienne grave qui peut entraîner de graves problèmes de santé chez les jeunes enfants. Elle est causée par un parasite appelé Toxoplasma gondii, qui est présent dans la nature. Le parasite se fixe sur les cellules de l’intestin grêle du jeune enfant et peut provoquer une infection mortelle. Les facteurs de risque de la toxoplasmose chez les enfants comprennent l’exposition au parasite lui-même ou aux déchets produits par le parasite.
Infection bactérienne
La toxoplasmose est une maladie bactérienne courante qui peut être causée par un parasite appelé Toxoplasma gondii, qui est présent dans la nature.
Les enfants peuvent être infectés par le parasite en ingérant des aliments contaminés par le parasite, en portant à leur bouche des objets infectés, en jouant avec des animaux infectés et en touchant des objets contaminés.
La toxoplasmose peut entraîner de graves complications chez les personnes infectées. Les infections les plus courantes sont l’encéphalite et la méningite, mais elles peuvent également entraîner des lésions rénales, des troubles nerveux, une paralysie et une amyotrophie.
Dégâts neurologiques
La toxoplasmose peut également provoquer des dégâts neurologiques chez les personnes infectées, notamment des lésions cérébrales, des troubles de la vue et des troubles de l’équilibre et de la coordination. Les personnes atteintes de toxoplasmose peuvent également présenter des lésions oculaires et des troubles de la motricité fine.
Santé mentale
La toxoplasmose peut également avoir des conséquences sur la santé mentale des personnes infectées. Elle peut provoquer une dépression, des troubles de l’humeur et des troubles de l’alimentation.
Hospitalisation
La toxoplasmose peut également entraîner une hospitalisation. Cela peut être nécessaire pour traiter des complications potentiellement mortelles telles que des lésions cérébrales.
Comment prévenir la toxoplasmose chez les enfants ?
La toxoplasmose est une maladie infectieuse courante qui peut être grave et potentiellement mortelle. Elle est causée par un parasite appelé Toxoplasma gondii, qui se trouve dans la nature. Les jeunes enfants sont particulièrement sensibles à la toxoplasmose car ils ingèrent facilement des aliments contaminés.
Les principaux facteurs de risque de la toxoplasmose chez les enfants sont l’exposition au parasite lui-même ou aux déchets produits par le parasite.
Les enfants peuvent être infectés par le parasite en ingérant des aliments contaminés par le parasite, en portant à leur bouche des objets contaminés, en jouant avec des animaux infectés et en touchant des objets contaminés.
L’ingestion d’aliments ou d’eau contaminés par le parasite peut également entraîner une infection chez les enfants.
La toxoplasmose peut être évitée en adoptant de bonnes pratiques d’hygiène et en limitant l’exposition au parasite. Les enfants peuvent être immunisés contre le parasite par la suite si les conditions environnementales et hygiéniques sont maintenues.
Les mesures d’hygiène
L’hygiène est un aspect important de la prévention de la toxoplasmose chez les enfants. Cela implique d’éviter de toucher ou d’ingérer des surfaces contaminées. Les enfants peuvent également être immunisés contre le parasite s’ils présentent des symptômes ou sont exposés au parasite.
Les mesures d’hygiène comprennent le lavage des mains et le nettoyage régulier des surfaces contaminées. La désinfection régulière des surfaces contaminées, en particulier les surfaces fréquemment touchées, est également importante.